10 janvier 2005
Signe
J'ai eu des nouvelles de la buse que j'avais trouvé le 31, cette
fameuse buse annonciatrice de signes. Cette buse qui s'était brisé les
ailes juste avant que l'on ne me coupe les miennes également. Des
nouvelles donc. Elle va mieux, elle a été soignée, operée. Elle sera
probablement relâchée d'ici quelques jours maintenant. Est-ce que cette
guérison est un signe pour moi également ? Peut être. Ca fait du bien
de le croire en tout cas.
En attendant, la reprise s'est bien passée. Je n'ai dormi que deux ou trois heures cette nuit. J'ai perdu l'habitude de me coucher si tôt. Il va vite que falloir que je la reprenne, l'habitude. Car mes parents ne seront pas là pour me réveiller en urgence dix minutes avant que mon train ne parte. Caaaaaar ils partent pour deux semaines afin d'effectuer le voyage de leur vie de retraités épanouis. Seul à la maison pendant deux semaines donc. Avec tout le bar à disposition. Personne pour me retenir. Il faudra que je me montre raisonnable. Il faudra que je lutte contre moi même et ce penchant pour la solution alcoolisée. J'avais réussi à m'en débarasser. Elle avait réussi à me la faire abandonner. Mais maintenant, c'est reparti. Une contrariété, une sensation de vide, des souvenirs trop intenses et hop, mon amie la bouteille est là, prête à me lobotomiser. Toujours aussi pitoyable hein. Pire qu'avant même je trouve. Je retombe dans mes travers les plus pathétiques. Le sursis est terminé. Il aura été de courte durée finalement. La la la. Je ne vais pas commencer à me plaindre un lundi matin, ça va perturber ma productivité.
En attendant, la reprise s'est bien passée. Je n'ai dormi que deux ou trois heures cette nuit. J'ai perdu l'habitude de me coucher si tôt. Il va vite que falloir que je la reprenne, l'habitude. Car mes parents ne seront pas là pour me réveiller en urgence dix minutes avant que mon train ne parte. Caaaaaar ils partent pour deux semaines afin d'effectuer le voyage de leur vie de retraités épanouis. Seul à la maison pendant deux semaines donc. Avec tout le bar à disposition. Personne pour me retenir. Il faudra que je me montre raisonnable. Il faudra que je lutte contre moi même et ce penchant pour la solution alcoolisée. J'avais réussi à m'en débarasser. Elle avait réussi à me la faire abandonner. Mais maintenant, c'est reparti. Une contrariété, une sensation de vide, des souvenirs trop intenses et hop, mon amie la bouteille est là, prête à me lobotomiser. Toujours aussi pitoyable hein. Pire qu'avant même je trouve. Je retombe dans mes travers les plus pathétiques. Le sursis est terminé. Il aura été de courte durée finalement. La la la. Je ne vais pas commencer à me plaindre un lundi matin, ça va perturber ma productivité.
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